• Fallait bien s'en douter : l'association de Tim Burton et de Disney allait forcément nous mener à une campagne promotionelle très insistante. En voici une nouvelle illustration avec un nouveau petit spot TV d'une trentaine de secondes qui nous confirme en tout cas que le Frankenweenie de 2012 se veut bien plus épique que celui des années 80!

    Il nous reste à attendre le 31 octobre pour sa sortie française et voir qui, du nouveau Burton ou de Paranorman sera le film d'animation le plus intéressant. Non, je ne parle pas de ces sombres merdes à base d'animaux qui hurlent, des trucs niais et écolo ni du dernier Pixar, totalement quelconque. Ni de cet Hotel Transylvania, dont le acsting vocal fait froid dans le dos. 

     


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  • Vous vous souvenez des fausses bandes-annonce qui avait été réalisée à l'époque de Planet Terror et Boulevard de la Mort de Rodriguez et Tarantino? Et bien après Machete et Hobo With A Shotgun, c'est au tour de Thanksgiving de devenir un vrai film. C'est son réalisateur Eli Roth (Hostel) qui le dit. Voilà qui sent le slasher stupide à plein nez. D'ailleurs, je n'aime pas trop Eli Roth. Ni en tant que réalisateur, ni en tant qu'acteur (dans Inglourious Basterds, il ferait mieux de moins parler!), donc je suis sceptique. 

    Reste donc Don't d'Edgar Wright et Werewolf Women of the SS de Rob Zombie qui resteront probablement de faux trailers : Wright est plutôt occupé pour le moment, et Rob Zombie a clairement dit qu'il ne voudrait de toute façon plus travailler avec les frères Weinstein, qui détiennent les droits de sa bande-annonce. Dommage.

     


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  • Alors que Les Possédés d'Ole Bornedal sort la semaine prochaine aux Etats-Unis et le 12 septembre en Belgique, on attend toujours une date éventuelle pour la France. Et pour patienter, voici un nouvel extrait qui continue d'assurer la promotion du film produit par Sam Raimi. Il sera question de dibbuk, démon de la mythologie juive, dans un film qui rappelle forcément L'Exorciste. Pour le moment, en tout cas!

    Le Dibbuk, deux doigts coupe-faim!



     


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  • intruders


    Titre
    : Intruders

    Réalisateur : Juan Carlos Fresnadillo
    Année : 2012
    Avec : Clive Owen, Daniel Brühl, Carice Van Houten
    Genre : Fantastique, Horreur

    Juan Carlos Fresnadillo avait fait plutôt bonne impression avec son 28 Semaines Plus Tard, et c'est donc en toute logique qu'Intruders pouvait intriguer. Fort d'un casting de têtes connues vues ici et là, le film était pourtant passé inaperçu lors de sa sortie en salles. On y suit en parallèle l'histoire d'un enfant espagnol hanté par une sorte d'ombre dont il écrit l'histoire, et celle d'une jeune anglaise hantée par la même ombre après avoir découvert un cahier racontant son histoire dans un vieil arbre.

    intruders

    Intruders partait tout plein de bonnes intentions, de début de bonnes idées, qu'elles soient fantastiques ou non. Par exemple, le cauchemar réucurrent du gamin, le retour d'un passé caché, les mensonges des parents aux enfants... Et pourtant, la sauce ne prend absolument jamais, la faute à tout un tas de défauts agaçants qui rendent le film soporifique tout le long, voire carrément foireux. Commençons par le "fantôme", ce fameux Hollow-Face : si le design et son histoire avait carrément du potentiel, son rendu à l'image est raté : tout en numérique, ce Nazgul du pauvre fait toc. Avec ses mouvements trop fluides et sa texture toute lisse, impossible d'y croire. Le casting, dont on aurait pu attendre mieux, est tout à fait inutile. C'est tout juste si le personnage de Clive Owen a le moindre intérêt, les autres ne servent absolument à rien (Daniel Brühl profite d'une de ses trois scènes et demi pour dire qu'il est inutile, bien vu!, les deux mères se content d'avoir l'air inquiètes, effrayées ou en colère...). Mais là où Intruders se plante le plus, c'est dans son twist et son dénouement. Avec une "révélation" à deux balles qu'on sentait venir rien qu'à lire le synopsis et une fin sirupeuse au possible, difficile de ne pas être dégouté par un tel manque d'originalité. Dommage, ça partait pourtant bien : une créature plutôt originale, le fait que la mère espagnole ET le père anglais voient eux aussi la créature était une vraie bonne idée, qui nous épargnait le twist bidon de la schizophrénie du gosse ou du parent...Mais Intruders n'arrive jamais à créer de réelle tension, l'ennui s'installe, et le film devient navrant dans sa dernière partie. Si au moins la créature avait pu avoir l'air réelle on aurait pu s'y intéresser. Mais non, il faut croire qu'un mec encapuchonné c'est trop compliqué à faire, il faut le faire en images de synthèse.

    Note finale : 3,5/10 


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  • Insensibles est un film d'horreur espagnol réalisé par Juan Carlos Medina, et comme tous les films d'horreur espagnols, il parle de la guerre civile. Bon, j'exagère. Surtout que le film semble se dérouler sur deux époques : la guerre civile donc, pendant laquelle de mystérieux enfants insensibles à la douleur sont enfermés dans les Pyrénées pour leur faire subir des expériences, mais aussi notre époque où un homme se découvre une tumeur au cerveau et a besoin d'une greffe de moelle osseuse que seuls ses parents pourraient lui fournir. Au passage, il va découvrir de vilains secrets sur le passé et faire face à une certaine Bakano, seule survivante des enfants "insensibles". Le film a l'air d'avoir de la gueule en tout cas, et la bande-annonce ci-dessous a des sous-titres. Ce qui tombe bien, je ne connais que deux mots espagnols : tacos et muerte. La sortie d'Insensibles est prévue pour le 10 octobre, mais le film sera au programme de l'Etrange Festival de Paris, et vous pourrez donc le découvrir en avant première les mardi 11 septembre à 19h45 ou vendredi 14 setpembre à 16h15!

     


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