• Je reprends une bonne habitude, celle de vous mettre un extrait d'un film dont je viens de parler, Le Blob en l'occurence (critique [ici]). Un bon moyen de se faire une idée des effets spéciaux du film de Chuck Rusell, qui font facilement 90% de son charme. La scène ne vous gâchera pas grand chose, on y voit la deuxième victime du Blob, la première à mourir à l'écran, au bout d'une vingtaine de minutes de film. Voilà. Bon app'!

     


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  • En attendant Django Unchained, prévu pour Noël, Inglourious Basterds reste le dernier chef d'oeuvre de Tarantino. Pour cette semaine, je vous ai choisi une de mes scènes préférées, et une des plus connues.

    Hélas, si vous n'avez pas vu le film je dois vous interdir de la regarder. Pour une fois que je poste une vidéo qui en montre beaucoup et peut vous gâcher le film, je préfère prévenir. Toute la scène dans le bar est absolument géniale, très tendue et assez drôle à la fois, et surtout, il y'a Michael Fassbender. Et Til Schweiger dans le rôle du sympathique et souriant Hugo Stiglitz. 

    Say "Auf Wiedersehen" to your nazi balls!

     


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  • Ce n'est pas la première fois que des moutons sont impliqués dans cette section, tiens. Si vous allez voir [par ici], vous verrez que déjà le 5 janvier dernier, l'extrait de Bad Taste de Peter Jackson nous montrait un ovidé sous son meilleur angle. Et vous savez quel est le point commun entre Bad Taste et Black Sheep? Ce sont des films néo-zelandais. Et vu le nombre de moutons en Nouvelle-Zélande, pas étonnant que des phobies y naissent. Depuis la sortie du film en 2005, son réalisateur Jonathan King n'a d'ailleurs rien réalisé de plus qu'un truc bizarre au nom de Le Secret des 7 Volcans (si dans les 7 y'en a des islandais, ça va pas être prononçable) qui n'a pas l'air bien glorieux, et un peu de figuration dans The Devil's Rock (critique [par là]), autre production néo-zélandaise assez cool. Pas de moutons par contre, mais des nazis (ce qui s'apparante à des moutons, je vous l'accorde, mais en plus bête). 

    Black Sheep nous parle donc de hippies, de moutons-garous et de moutons-OGM. La scène qui suit ne révèle rien de crucial, c'est juste du carnage. Enjoy. 

     


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  • Cette semaine j'ai choisi pour vous un extrait de Postal de Uwe Boll. Si vous connaissez le jeu vidéo Postal, vous savez déjà à quel point il est synonyme de mauvais goût. Mais si vous connaissez aussi le réalisateur Uwe Boll, vous savez à quel point ce nom est lui-aussi synonyme de mauvais goût. Tout ça pour dire que Postal n'est pas un film d'intellectuels. Le problème c'est que ce n'est pas non plus un film intelligent. Ce n'est pas un film de poètes non plus, mais le problème, c'est que c'est même franchement lourd. Voilà. Malgré un concentré de politiquement incorrect qui aurait pu rendre le film très fun, la nullité de la réaliation, des acteurs et de l'humour en font juste un film chiant et consternant. C'est dommage qu'il s'y passe si peu de choses, Uwe Boll préférant enchainer les blagues racistes et crados que de faire avancer son histoire à grands coups de tirs en pleine tronche...Postal lorganit du coté de South Park, mais au final, c'est juste très beauf. Dans un genre similaire mais plus fou et fantastique, Poultrygeist de Lloyd Kaufman(critique [par là]) est quand même 666 fois mieux.

    Bref. Il reste au final quelques scènes bien marrantes. Comme celle-ci. 



     


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  • Allez, pour cette semaine je vous propose un extrait d'un de mes gros coups de coeur des derniers mois : Tucker & Dale Fightent le Mal (critique [ici]). Pour une fois que je trouve une comédie vraiment drôle et bien foutue...Le film sortira en DVD le 4 juillet en France, et je ne répeterai jamais assez qu'il faut voir ce film. Mais plus important encore, il ne faut PAS voir la bande-annonce, elle est catastrophique. Elle gâche bien trop de surprises, tout en les sortant du contexte ce qui les fait tomber à plat et donne l'impression que Tucker & Dale n'est qu'une comédie abrutie façon Scary Movie.

    La scène qui suit vous gâchera donc bel et bien l'effet de surprise d'UNE des morts du film, ce n'est pas non plus la mer à boire. Je pense que la scène est bien représentative du ton général, qui repose sur une suite d'énormes malentendus et de références au cinéma d'horreur. On a donc d'un coté les ados tout beaux-tout bêtes et de l'autre les bouseux, qui, forcément, sont des psychopathes aux yeux des étudiants tout beaux-tout bêtes. Surtout si l'un des bouseux a une tronconneuse à la main et se met à la secouer en hurlant quand une horde de guèpes s'en prend à lui.

     


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